Michel Giès

Théâtre – Opéra – Comédie Musicale

Presse

Madame Marguerite (Roberto Athayde)

 

Un spectacle original, décapant puissant et drôlissime… Ingéniosité et sensibilité artistique de Michel Giès…
(Planète Campus, 21/12/2023)

 

Subtilité de la mise en scène signée Michel Giès, moment tout simplement jubilatoire. C’est intense, décapant et vertigineux : une vraie pépite !
(Paris Capitale, 11/2023)

 

Mise en scène intense
(Théâtre Passion, 21/11/2023)

 

Mise en scène énergique
(Politique Magazine, 12/2023)

 

Michel Giès dirige avec finesse cette exploration contemporaine du pouvoir, jonglant avec les nuances du tragique et du comique pour créer une atmosphère aussi captivante que dérangeante.
(Speed Théâtre)

 

La mise en scène bien rythmée de Michel Giès met en valeur le jeu de la pétulante Emilie Chevrillon…
(Théâtre au vent, 8/01/2024)

 

Le spectacle fourmille d’astuces.
(A bride abattue, 21/11/2023)

 

Une belle performance scénique… Le décor outrancier, le jeu de lumières et sonore nous font basculer dans la folie de Madame Marguerite.
(L’Onde Bleue)

 

Michel Giès met en scène ce personnage avec une résolue volonté de nous montrer ce qu’il représente, ce qui l’anime, avant de nous le montrer dans ses abus divers, ses incongruités vertigineuses et sa gouaille… Séquences éthérées dans des courtes chorégraphies inattendues… Ce spectacle est un voyage étonnant et bouleversant.
(Spectatif, 11/2023)

 

Insolente et débridée, charmeuse et vénéneuse, Emilie Chevrillon incarne dans la mise en scène au cordeau de Michel Giès une maitresse survoltée.
(Singulars,11/2023)


Deux Âges de l’Amour (Trois pièces de Georges Feydeau)

« Michel Giès, plus connu pour ses « grandes » mises en scène (Carmen, Norma, Mignon…) s’approprie la pièce avec délectation, se permet même de l’agrémenter de quelques interventions musicales très bien venues, et du coup le spectateur s’y installe agréablement et durablement… Un bijou de théâtre façonné par des comédiens enthousiastes et un metteur en scène plein d’imagination. »
Planète-Campus, 21/03/2018

 

« Le public a pu découvrir toutes les facettes du talent de Feydeau… ».
Le Dauphiné libéré, 27/01/2019


La Voix Humaine (Poulenc) et Le Téléphone (Menotti)

« La mise en scène de Michel Giès était rigoureuse, austère, contenue, certes risquée, mais pas au point d’effrayer le public. Raphaëlle Farman s’est révélée être une interprète physique et pleine d’endurance… »
(Periodic, 17.05.08)


D’Amour et d’Humour

(Spectacle de cabaret sur des musiques de Satie, Chabrier, Poulenc, Messager…, et des textes de Proust, Courteline, Anouilh…)

« Les heures de gloire du café-concert :
Cet assemblage original de textes et de mélodies, Michel Giès a su le rendre accessible à tous… Le personnage de la pianiste, coincé, et son délicieux accent, apporte une touche de burlesque… Car même s’il ne refuse pas la mélancolie, le ton du spectacle se veut léger comme la jambe d’une danseuse de cancan. »
(La Charente Libre, 10.09.05).


Faune et Flore

(Création scénique d’après des mélodies de Milhaud, Chabrier, Ravel, Poulenc, Sauguet)

« Ecologie et musique dans un spectacle plein d’humour. »
(Jornal Noticias, 12.02.2001).

 

« Un monde de petites suggestions, souvenirs d’enfance, attendrissants regards sur les insectes et les plantes, divertissantes annotations, informations et références poétiques. C’est un spectacle qui valorise l’originalité d’un concept tout en mettant en valeur la qualité vocale de son interprète… Une atmosphère qui parfois se rapproche de l’imaginaire surréaliste. »
(O comercio do Porto, 23.02.01).

 

« Un spectacle d’un style singulier. Des compositeurs français nous invitent à découvrir la faune et flore. Les projections vidéo soutiennent le rythme léger et l’atmosphère humoristique de ce spectacle. Le public a beaucoup apprécié «Faune et Flore» et a réagi souvent par des éclats de rire et des applaudissements. »
(Jornal de Macao, 10.03.02).

 

« Un opéra de chambre pour un public de tous les âges, qui va jusqu’à inclure des éléments scéniques multimédia pour atteindre un objectif ambitieux : prouver que la musique de Chabrier, Ravel, Poulenc, tout aussi bien que la poésie d’Apollinaire et d’Eluard, ne sont ennuyeuses pour personne, et peuvent être aussi transmises aux enfants. »
(Terras Montemor, 27.12.2002).


Anas-el-Wogood (Aziz El-Shawan)

« Un miraculeux spectacle d’ombres tel qu’il y en a en Indonésie, si beau à regarder … Vrais moments d’étrange beauté mythique, centres profonds d’une authentique nuit égyptienne à l’Opéra. »
(David Blake, Al Ahram Weekly, 19.06.96).

 

« L’opéra Anas El Wogood vient d’avoir sa Première Mondiale au grand théâtre de l’Opéra. Applaudie sans relâche, ovationnée sans répit… la mise en scène de cette œuvre a été exécutée superbement par Michel Giès, qui est parvenu, avec énormément de fantaisie et d’intelligence, à créer un opéra très vivant et à souder avec un indescriptible raffinement l’antiquité égyptienne à l’époque des sultans… Gigantesque pouvoir inventif… Sensibilité des plus émouvantes. »
(Amal Choucri Catta, Le Progrès Egyptien, 16.06.96).


La Vie Parisienne (Offenbach)

« Depuis le rideau de scène Second Empire spécialement peint à cet effet jusqu’au dernier détail des gants et des chaussures, aux décors exquis, aux costumes somptueux et pleins d’esprit, à la danse, au jeu des acteurs et aux superbes ballets, la production de la Vie Parisienne d’Offenbach que l’Académie des Arts du Spectacle vient de monter est tout simplement la représentation théâtrale la plus saisissante jamais donnée ici
Dans cette production agile, presque sans couture, pendant le chant la danse, la satire… tout le monde sur scène semble passer les plus merveilleux moments…
Regardez donc la fin du troisième acte : ça danse en tourbillonnant, ça chante en pleine ivresse, le bouchon d’une bouteille de champagne haute de trois mètres saute au plafond – et à ce moment là, même les tables sur scène se mettent à tourner sur elles-mêmes. En voilà enfin, une vraie comédie musicale ! »
(Harry Rolnick, South China Morning Post,03.05.96).

 

« La Vie Parisienne triomphe à Hong Kong :

« On dansait aussi sur le Titanic ». La formule est fameuse dans le milieu des résidents français du monde chinois. Difficile de ne pas y songer quand on voit la Vie Parisienne remporter un tel succès jusque dans les colonnes de South China Morning Post, quotidien de langue anglaise dont la francophilie est d’ordinaire assez ténue. »
(Francis Deron, Le Monde, 29.05.96).

 

« Sept représentations à guichets fermés pour un public de joueurs, qui comme le beau monde du Second Empire, fête l’instant présent sans trop savoir ce que lui réserve le destin… »
(Jean Leclerc du Sablon, Le Figaro, 13.06.96).

 

« Une performance… Le public a dévalisé la billetterie… »
(Philippe Le Corre, La Tribune, 10.05.96)

 

« A vous couper le souffle… »
(Hong-Kong Standard, 05.05.96)

 

« Une pièce savamment montée… Je suis émerveillée… »
(Ming Pao Daily News, 14.05.96).


Les Contes d’Hoffmann (Offenbach)

« Cette mise en scène nous donne une interprétation différente, plus dynamique, plus personnelle, plus globale. Cette production nous a prouvé qu’une production d’opéra ne doit pas rester descriptive mais qu’elle devrait restituer un univers musical sur scène où les émotions dramatiques de l’ouvrage puissent se vivifier puis être transmises aux spectateurs. Il va sans dire que pour une telle création il faut une mise en scène talentueuse. »
(Gek SOEK, The Korean Perfoming Art magazine, Seoul, 06.1995).


Samson et Dalila (Saint-Saëns)

« La nouvelle interprétation de Samson et Dalila par le metteur en scène Michel Giès a suscité un grand intérêt. L’aspect dramatique de l’action a été souligné de manière très réussie. Le jour de la première la majorité des spectateurs manifestaient un grand enthousiasme, d’autres réprouvaient les écarts faits à la version classique. La Direction du théâtre a accompli une expérience audacieuse et cela nous réjouit. »
(Rita Logatcheva, Le Journal de Kharkov, 11.1993).


Carmen (Bizet)

« On pourrait croire que Carmen est un opéra tellement connu et si souvent vu qu’il ne doit pas y avoir grand chose de neuf à présenter. Or le spectacle de Lodz s’est révélé étonnant à plus d’un titre (…) On nous avait appris que Carmen est l’une des premières illustrations de l’opéra vériste. Au lieu de cela, le metteur en scène Michel Giès proclame :  » Tentons de nous immerger dans ce monde irréel où l’on peut atteindre le mythe (…) Nous avons cherché notre modèle dans l’Espagne de l’Inquisition, de la sorcellerie, du fanatisme, mais aussi des fêtes et des cérémonies liant les traditions païennes à une religiosité démesurée ». Et ce qu’il dit il le montre sur scène. »
(Jozef Kanski, Ruch Muzyczny (Mouvement musical), 03.11.1991).


Mignon (Thomas)

« Il est évident que dans la cruauté de cet éclairage, l’œuvre gagne en modernisme et qu’elle trouve sa véritable dimension goethéenne. La bluette est bel et bien un drame romantique et du coup, la riche partition d’Ambroise Thomas reprend toute sa signification. »
(Pierre Julien, Opera International, 03.1988).

 

« La salle archi comble a réservé une ovation aux réalisateurs et aux artistes à l’issue de la première représentation (…) Dans cet écrin à la découpe légère et aérée, le metteur en scène, Michel Giès, a réalisé un travail remarquable, fruit d’une recherche intelligente. Sa mise en scène est précise et concise. De plus, ses effets lumineux sont judicieux et de fort bon goût. »
(A.L- Vaucluse Matin, 20.02.1990).


Norma (Bellini)

« Un drame à l’atmosphère très particulière dont le metteur en scène s’est plu à renforcer l’ésotérisme. Avec Michel Giès, on est loin du traditionnel spectacle romantique expressif au premier degré. Il oblige à penser. »
(Ouest-France, 03.1987).